segunda-feira, 28 de janeiro de 2008

Comprar ou não comprar um celular??


Eis um grande problema, o novo imigrante chega no Quebec, não tem endereço fixo, e a cada lugar que vai, pedem um numero de telefone, a saída que parece mais fácil é comprar um celular, existem para todos os gostos e bolsos, tem desde o pré-pago, até “promoções especiais”. Primeiro problema o imigrante chega com a visão que ele tem do sistema de telefonia celular do Brasil, para começar a história em 99 % dos planos o dono do celular paga quando recebe ligação e quando faz também, o lado bom é que quando liga para celular não paga nada. Isso faz com que as pessoas não dêem o numero a outras, não atendam ligação em determinados horários (quando elas têm o plano de x minutos para receber e/ou fazer ligações após tal horário). O segundo problema é que quando você assina um contrato com uma operadora muitas vezes você se compromete por dois e em alguns casos por três anos (parece que isso estar para mudar). Bom facilmente ter um celular vai custar 60 – 70 $ por mês enquanto que um telefone fixo da Bel fica no serviço básico 30 $ já com as taxas. No meu ponto de vista pense duas vezes antes de comprar um celular, verifique que alguém pode receber as ligações importantes (as relacionadas a obter os documentos junto ao governo) .

Outro ponto importante instalando um telefone compre uma secretaria eletrônica, você tem que se habituar a viver com elas, quase por tudo onde se liga cai numa secretaria eletrônica, você deixa uma mensagem depois te ligam, a mesma coisa com você te ligam e deixam uma mensagem, depois você liga, no começo é estranho isso, pois aqui no Brasil quando acontece de cair em secretaria eletrônica a maioria das pessoas simplesmente desligam.


by: texto modificado encontrado em um outro blog

quinta-feira, 24 de janeiro de 2008

Para quem gostaria de ficar em um Albergue Barato em Ville Quebec

Ae galera, vou postar aqui um texto de grande interesse para aqueles que pensam em se instalar em Ville Quebec e querem um Hostel "BB"(bom e barato)... fiz uma pesquisa e encontrei algumas coisas interessantes, vamos treinar o frances galera.. uhuhuh

Salut,

Il y a l'auberge de jeunesse sur la rue St-Ursule qui fait partie du réseau Hostelling International (www.cisq.org) et l'auberge de la paix sur la rue Couillard (www.aubergedelapaix.com). Mais je pense que le moyen le plus économique, c'est avec un CS qui a de la place pour 4 invités ou diviser le groupe entre quelques CS.

terça-feira, 15 de janeiro de 2008

Bilinguisme nécessaire dans les grands magasins e "I Don't Speak Fench"

Olá Galera, resolvi postar aqui duas reportagens interessantes sobre o mercado e as linguas faladas no centro do Quebec, para que possamos ter uma grande noção de como funciona e como está sendo a tendencia por lá. Boa Sorte e espero que todos possam compreender.

Bilinguisme nécessaire dans les grands magasins

Noée Murchison
Le Journal de Montréal
15/01/2008 06h02


Alors que le fait de travailler dans des commerces indépendants ou franchisés sans parler français est un jeu d'enfant, les grandes surfaces semblent avoir appris leur leçon depuis le débat autour du service en français chez Eaton.

Aucun grand magasin approché n'a finalement embauché la représentante du Journal de Montréal, même si elle a pu travailler facilement dans 10 commerces franchisés et cinq indépendants.

Des procédures d'embauche rigoureuses exigeant plus de temps ainsi que le bilinguisme pourraient en être la cause.

«On a besoin de gens en ce moment mais je ne peux pas te mettre sur le plancher. La clientèle est à moitié francophone et anglophone», précisait une supérieure de La Baie lorsque la journaliste s'y est présentée une seconde fois.

«Si tu prends des cours de français et que tu te sens meilleure, reviens nous voir», conseillait-elle.

Négligence

La Charte de la langue française oblige tous les commerces à offrir le service en français, mais les petits détaillants contreviennent beaucoup plus souvent à l'esprit de la loi que les grandes surfaces, confirme le porte-parole de l'Office québécois de la langue française.

«Le problème est dans les petits commerces, les dépanneurs, les restaurants. Dans les grands magasins et les franchises, la Charte est généralement respectée», commente Gérald Paquette.

Le français à Montréal

· En 2006, le français est tombé sous la barre des 50% en tant que langue maternelle sur l'île de Montréal.

· Dans la région métropolitaine, 65,7% de la population avait le français comme langue maternelle.

· En 2001, plus d'un million de personnes travaillaient sur l'île de Montréal, dont 60 % de francophones.

· Un travailleur sur quatre utilisait surtout l'anglais au travail en 2001 sur l'île.

Sources: Statistique Canada, Office québécois de la langue française


I don't speak French

Le français pas important





Malgré les 30 ans de la loi 101, les francophones peinent encore à se faire servir dans leur langue à Montréal. Une de nos journalistes a pu trouver 15 emplois dans des commerces en parlant uniquement anglais.

En quelques semaines, une représentante du Journal se faisant passer pour une unilingue anglophone a été embauchée dans plusieurs commerces avec un CV juste en anglais.

Dès la première journée, elle a obtenu deux emplois et trois entrevues, menant tous à son embauche.

Elle disait à tous les employeurs qu'elle savait dire un seul mot de français: «bonjour».

Des «chialeux»

La journaliste, qui peut s'exprimer en anglais sans accent, a travaillé directement avec la clientèle en tant que vendeuse, serveuse ou caissière.

Dans huit endroits sur 15, elle n'a jamais été obligée de dire un seul mot de français.

Un seul magasin a finalement placé la représentante du Journal dans l'arrière-boutique parce qu'elle n'arrivait pas à servir les clients en français.

Dans les 14 autres commerces, les patrons jugeaient que ses lacunes en français n'étaient pas très importantes, et ce, malgré les plaintes de la clientèle. «Ce n'est pas grave, ces clients-là sont chialeux», disait notamment une patronne. Une gérante francophone est même allée jusqu'à demander l'assistance d'une employée bilingue pour traduire l'entrevue d'embauche de la journaliste.

Plaintes

La plupart des emplois obtenus étaient en plein coeur de Montréal, l'endroit qui suscite le plus de plaintes pour la langue de service, selon Gérald Paquette, porte-parole de l'Office québécois de la langue française (OQLF).

«Le centre-ville de Montréal a une valeur symbolique. On a un problème si on n'est pas capable de s'y faire accueillir et servir en français», dit-il.

Un expert de la situation linguistique au Québec remarque que les gens se plaignent de plus en plus qu'ils se font servir en anglais à Montréal. Charles Castonguay l'a lui-même observé en tant que client.

«On dirait qu'on est en train de perdre le contrôle de la situation et que l'anglais est en train de redevenir la langue principale dans le centre-ville», constate-il.

Fiefs francophones

La représentante du Journal a décroché aussi des emplois dans des fiefs francophones comme la Rive-Sud et le Plateau Mont-Royal.

Elle a été engagée comme vendeuse sur le Plateau sans même que la gérante lui demande si elle parlait français.

Plusieurs patrons ont d'ailleurs félicité la journaliste, qui servait en anglais des clients majoritairement francophones.

«Tu es formidable avec les clients», disait un patron en qualifiant d'«excellent» le service offert par la journaliste.

Avis à nos lecteurs

Nous avons choisi de ne pas publier les noms des commerces qui ont embauché la représentante du Journal. Nous souhaitons ainsi éviter de montrer du doigt seulement certaines entreprises alors que les résultats de l'enquête reflètent un phénomène largement répandu.

De plus, les questions linguistiques ayant par le passé été à l'origine d'actes de vandalisme, nous préférons taire le nom de ces commerces afin d'éviter qu'ils soient ciblés, le cas échéant.

Les faits

Une journaliste du Journal de Montréal, Noée Murchison, s'est rendue dans 97 commerces de la région de Montréal avec un curriculum vitæ rédigé uniquement en anglais.

Le CV distribué indiquait l'anglais comme seule langue parlée, avec une certaine connaissance du français.

Quand un employeur questionnait la journaliste à savoir si elle parlait français, elle répondait: «Non, je comprends un peu, mais sans plus» ou «Non, je pourrais dire bonjour, mais c'est tout».

La journaliste informait tous les employeurs qu'elle serait incapable de répondre aux clients en français et de les servir dans cette langue.

En entrevue, la journaliste refusait toujours de parler français. Quand on lui demandait si elle était prête à apprendre le français, elle répondait qu'elle «pourrait peut-être essayer».

En servant les clients, elle ne disait au départ aucun mot de français. Lorsqu'un patron exigeait qu'elle salue ou remercie en français, elle se limitait à quelques mots comme «bonjour» et «merci».

domingo, 6 de janeiro de 2008

Imigração para o Québec

Imigração para o Québec

Para quem é o processo de imigração
O processo de imigração não é para qualquer pessoa. O Québec não faz caridade nenhuma quando seleciona imigrantes. A razão desta seleção é puramente econômica.


As suas chances para imigrar serão de acordo com os seguintes itens:

  • ter pelo menos uma graduação
  • ter muito dinheiro
  • ter experiência profissional
  • a sua profissão tem que estar em alta demanda no Québec
  • ter bons antecedentes criminais
  • ter pago TODOS os seus impostos nos 5 últimos anos
  • ser fluente em francês
  • querer falar em francês no dia-a-dia
  • ter entre 21 e 35 anos

As suas chances aumentam quando você:

  • fala inglês
  • conhece a cultura do Québec
  • conhece e concorda com os valores dos Québécois
  • tem planos definidos e credíveis para mudar-se no Québec
  • tem uma proposta de emprego emprego no Québec
  • tem pessoas que possam lhe apoiar quando chegar no Québec
  • tem muita força de vontade e experiêncais
O processo de imigração não é difícil. Mas ele precisa que você se prepare bastante e invista tempo e dinheiro. É bastante provável que você terá uma vida melhor no Québec. Mas antes de chegar até lá, você passará por muitos momentos difíceis.


Os custos do projeto de migração

Os custos do projeto se dividem em duas partes: a papelada e a migração como tal

Primeira parte: a papelada
  • CSQ, requerente principal: 390$ CAN
  • CSQ, esposo(a): 150$ CAN
  • CSQ. filho: 150$ CAN
  • Pedido de residência permanente (consulado do Canadá em São Paolo), requerente principal: 550$ CAN
  • Pedido de residência permanente (consulado do Canadá em São Paolo), esposo(a): 550$ CAN
  • Pedido de residência permanente (consulado do Canadá em São Paolo), filho: 150$ CAN
  • Visto de residente permanente (consulado do Canadá em São Paolo), requerente principal: 550$ CAN
  • Visto de residente permanente (consulado do Canadá em São Paolo), esposo(a): 550$ CAN
  • Visto de residente permanente (consulado do Canadá em São Paolo), requerente principal: 150$ CAN


Total por uma pessoa só: 1490$ CAN (cerca R$3000)
Total por um casal: 2740$ CAN (cerca R$5500)
Total por um casal com um filho: 3190$ CAN (cerca R$6400)

Quando você deve pagar os custos
CSQ: Na hora de mandar a papelada
Pedido de residência permanente: Após de obter o CSQ na hora de mandar a papelada para o consulado de São Paolo (de 4 a 6 meses no minimo após de ter mandado a primeira papelada)
Visto de residente permanente: 6 a 9 meses após de ter mandado o pedido de residência permanente

Nota: para acelerar o seu processo na parte federal, pode pagar para o pedido de residência permanente e o visto ao mesmo tempo.
Nota: O processo é caro, mas, é barato quando você considera todas as vantagens que você terá após ser residente permanente.


Segunda parte: a migração
  • Passagens de ida para o Canadá, por pessoa: R$2400
  • Despesas mensais, pessoa solteira: 935$ CAN (cerca de R$1900)
  • Despesas mensais, casal: 1445$ CAN (cerca de R$2900)
  • Despesas mensais, casal com filho: 1750$ CAN (cerca de R$3550)


Nota: Esses valores são referentes a imigrantes indo para a cidade de Montréal
Nota: O valor de 935$ CAN coresponde a uma pessoa dividindo um apartamento com outra pessoa. Achar alguém para dividir um apartamento no Québec é fácil
Nota: O valor de 1445$ CAN coresponde a um casal morando num apartamento de 2 quartos.
Nota: O valor de 1750$ CAN coresponde a um casal com filho morando num apartamento de 2 quartos.
Nota: Todos os diferentes valores incluiem internet velox, luz, comida, transporte em comum (onibus e metro ilimitados), dinheiro para comprar roupas básicas (nada de superflu) e um telefone celular por adulto.

A vida dos imigrantes brasileiros no Québec
As perspectivas


O primeiro emprego, o primeir apartamento, a primeira entrevista - tudo no inicio é mais dificil.

Há tres tipos de imigrantes:
  • O imigrante-spectador: ele acha que chegando no Québec, o governo vai bancar-lo, lhe dar um emprego, uma casa para morar e dinheiro. Chega lá e bate de frente com a realidade. Ele chega no Québec sem saber como ter a profissão dele reconhecida. Luta por alguns meses e depós volta para o Brasil, dizendo que o Québec é uma merda e que ele foi vítima de propaganda enganosa.
  • O imigrante despreparado: ele chega no Québec achando que vai ser super dificil. Chega lá e realmente, é super dificil, por que ele não se preparou. A primeira coisa que ele faz é de procurar um curso de francês do governo. Demora uns 6 meses para aprender um francês decente e acha o primeiro emprego após de 9 meses. Gasta muito dinheiro em vão por não se ter preparado. Passa por muita distresa psicologica.
  • O imigrante preparado: ele chega no Québec já sabendo o que vai cada dia das 3 primeiras semanas. Ele sabe que migrar não é facíl, mas chega tão preparado que migrar se torna igual a fazer um bolo: seguir o planejamento pessoal passo a passo. Ele chega no Québec já falando francês muito bem e não perde tempo fazendo francês. Quando chega no Québec, ele já está encaminhado para terminar o reconhecimento da profissão dele. Se emprega dentro dos tres primeiros meses no setor dele.

informações tirada do site: http://www.francaisquebecois.com